Section médias

Cette section s'adresse aux médias. De nombreux récits de GPA ont été présentés au public québécois. Ce qui caractérise ces récits c'est qu'ils ont tous des dénouements heureux. En effet, la plupart des contrats de GPA interdisent aux mères porteuses de raconter leurs récits sans le consentement des parents bénéficiaires:

"The inclusion of confidentiality clauses in contracts may also make surrogates reluctant or afraid to speak with researchers about their experiences. ^[1]"

C'est ainsi que seuls les dénouements "heureux" (congruents avec la "mise en marché" de l'industrie de la procréation) trouvent leur chemin vers le public québécois.

Nous reproduisons ici des récits, extraits de décisions de cour canadiennes ou d'articles parus dans des médias canadiens ou étrangers représentatifs des conflits éthiques ou déontologiques inhérents au principe de contractualisation des fonctions reproductives humaines et de l'appropriation de la filiation d'enfants séparés de leur mère à la naissance.

Les récits de GPA que l'industrie de la fertilité ne vous communiquent pas...

États-Unis

José

La grossesse de José Rolon

LIRE

Les clauses des contrats de GPA canadiens

^[1]p.280

Toutes ces clauses de contrat ont été rapportées par des avocats pratiquant pour l'industrie de la GPA au Canada et sont extraites de la thèse de doctorat en droit de CARSLEY, S. (2022), Surrogacy in Canada: Lawyers’ experiences, practices and perspectives,

Certaines de ces clauses ont engendré des litiges et des règlements hors cour.

Stéphanie Carsley a analysé dans sa thèse doctorale la façon dont le droit canadien se saisit du phénomène de la maternité de substitution et y répond. Sa thèse repose sur une étude empirique (entretiens qualitatifs) menée auprès de vingt-six avocats spécialisés en la matière, en provenance de la Colombie-Britannique, de l’Alberta, de l’Ontario et du Québec.

7 mythes de la GPA non soutenus par les faits et les données disponibles

LES MYTHES LE LA GPA

Un marché construit sur des mythes

Le recours à la GPA est-il soutenu par une véritable acceptation sociale ou s'est-il construit sur la propagation de mythes ?