Les mythes véhiculés sur la grossesse pour autrui

 

Le recours à la GPA au Québec est-il soutenu par une véritable acceptation sociale ou s'est-il construit sur la propagation de mythes ?

Cliquez sur chacun des mythes pour en savoir plus.

 

 

 

 

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MYTHE # 1

La grossesse pour autrui est faussement perçue comme un geste de solidarité d’une femme envers une sœur ou une amie infertile.

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MYTHE # 2

Quelque opinion que l'on puisse avoir sur la GPA, un fait objectif est que toute séparation d’avec sa mère biologique crée un préjudice au nouveau-né.

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MYTHE # 3

Après une GPA, l'infertilité du couple commanditaire n'est toujours pas soignée ou traitée et la mère porteuse a été exposée à des risques, incluant des risques augmentés d'infertilité pour elle-même.

 

 

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MYTHE # 4 

Les GPA ne sont pas toujours altruistes (non rémunérées), contrairement aux dispositions de la loi canadienne .

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MYTHE # 5

La loi québécoise encadrant la GPA a ouvert pour la société québécoise une nouvelle possibilité juridique permettant la disposition de certains enfants: ceux qui font l’objet d’un contrat avant leur conception.<

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MYTHE # 6

Au Canada et au Québec les clients de la GPA et les mères porteuses ont des revenus semblables.

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MYTHE # 7

Des acteurs importants dans le domaine de la grossesse pour autrui (GPA) prétendent qu'il n'y a pas plus de risques à d'avoir recours à une Fécondation in vitro (FIV) pour soi-même que dans le cadre d'une GPA.