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La reconnaissance législative de la GPA dans 80 États

Les parents prospectifs qui ont recours aux États non reconnus par la loi québécoise devraient s'informer des conditions auxquelles sont confrontées les citoyennes de ces pays, de leur précarité économique et de leur aptitude à consentir à des traitements qui mettent en péril leur santé reproductive et leur santé en général, à court et à long terme. 

 

Nous pensons que les parents bénéficiaires ont un devoir éthique envers leurs enfants et envers la femme qui les a mis au monde.  Ils doivent se préoccuper des lois en vigueur dans ces pays, comment les mères porteuses et les pourvoyeuses d'ovocytes sont traitées, comment elles sont informées et comment leurs droits à la santé reproductive sont respectés (ou pas).   

 

La carte  ci-bas illustre les positions législatives de 80 États sur la GPA telles que rapportées par une étude réalisée par la Coalition internationale pour l’abolition de la maternité de substitution (CIAMS) en Octobre 2022 .   Le Canada et l'Australie ont été ajoutés dans la colonne "Encadrée".

 

Comme le marché mondial est en constante adaptation et migre vers des pays de plus en plus pauvres à mesure que des pays ferment leur porte à la marchandisation du corps de leurs citoyennes, les informations peuvent devenir obsolètes rapidement.  Vous pouvez cliquer sur les  marqueurs des États  sur la carte pour accéder aux détails de la législation.  Des informations supplémentaires sont ajoutées dans des "notes".

 

Il nous paraît  important de rappeler aux parents bénéficiaires qu'ils devraient prendre leurs informations de sources indépendantes des cliniques et des agences qui ont tout  intérêt à leur présenter une image  positive de leur  industrie.

 

 

Le recours à la GPA hors Québec

Restrictions de la nouvelle loi québécoise : Quels recours l'industrie de la fertilité a-t-elle annoncé pour s'y opposer ?